Au cœur des nouvelles fantastiques avec les 4e2

A leur tour, les 4e2 sont devenus des écrivains en herbe...
Découvrez leurs nouvelles fantastiques ...
Bonne lecture !

Le revenant

Ce soir-là, on faisait la fête d’anniversaire d’une de mes amies dans le parc où l’on avait l’habitude d’aller. À un moment je ne me sentis pas très bien et je décidai de m’écarter du groupe.

Tout à coup j’entendis des cris de douleur un peu plus loin, j’étais pâle comme un mort, je m’approchai et aperçus un jeune homme à terre. Je distinguai avec effroi que je ne pouvais rien faire. Il était déjà mort ! Mort !
Mon sang ne fit qu’un tour.
Et là le corps disparut sous mes propres yeux.
Mes jambes étaient toutes tremblantes, mon cœur battait la chamade, j’avais la chair de poule et mon front était rempli de sueur.

Je courus retrouver mes amies pour leur raconter ce que j’avais vu mais personne ne me crut. Je rentrai chez moi perplexe et épouvanté.
Le lendemain, je retournai en cours blanc comme un linge et je passai une journée normale, même si l’image du pauvre homme me hantait.

À la fin des cours, je rentrai chez moi par l’avenue principale, elle était bizarrement calme et déserte.
L’image de l’homme ne sortait toujours pas de ma tête. Mon cœur se mit à battre de plus en plus vite au moment où je sentis une présence se rapprocher de moi. Je la sentais, elle était bien là mais je ne pouvais pas la décrire, elle était indescriptible comme la peur.
Était-ce mon imagination ? un vent glacial vint parcourir mon dos.
Je me retournais mais il n’y avait personne, lorsque je tournai la tête pour continuer ma route le cadavre de la veille se tenait debout, là devant moi.
Il était amaigri on ne voyait pratiquement que ses os mais il était bien vivant ! Vivant !

Il essaya de me sauter dessus et je l’esquivai de peu, il réessaya et réussit à me blesser légèrement.
Je m’enfuis, je courus, je courus, je courus et je rentrai enfin chez moi et m’enfermai à double tour.
Je pensai qu’il était parti, alors je rouvris la porte pour me convaincre que ce n’était que mon imagination.
Soudain il fonça sur la porte et réussit à entrer dans la maison.
Je courus dans ma chambre pour m’enfuir par la fenêtre, mais au dernier moment, je sentis une main sur mon épaule.

Et là ce fut le trou noir, je ne me souvins plus de rien.
Je me réveillai à l’hôpital. Je regardais autour de moi et je vis mes affaires personnelles posées sur une chaise. Un médecin entra et me dit que j’avais quitté l’hôpital sans autorisation et que dorénavant je n’aurai plus le droit de sortir car je risquai de me blesser.

En observant mon épaule, je vis une brûlure...

Kahina, Nawel, Bénie

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Une nuit de terreur

Autrefois, j’avais une vie paisible comme tout le monde, jusqu’au jour où je dus déménager.
Des rumeurs circulaient dans la ville en disant que la maison que nous avions achetée était hantée.
Et que chaque personne qui y entrait ne ressortait plus.
Mais, moi je n’y croyais pas.
Les jours passèrent, et rien de suspect, les gens aiment vraiment faire peur aux nouveaux arrivants.
Quelques semaines plus tard.
Un soir, il était bien minuit. Quand tout-à-coup ! Il me sembla sentir une présence comme si l’on m’observait.
Que se passait-il ? Une angoisse me prit à la gorge.
Je commençai à avoir la chair de poule. J’allumai ma lampe de chevet, et vis qu’il n’y avait rien, je me recouchai.
Le lendemain matin en me levant je me demandai si c’était un rêve ou pas. La journée venait de se finir. Il était très tard.
Soudain ! Je ressentis la même sensation que la veille. Je paniquai de plus en plus mon cœur battait la chamade. J’éteignis la lumière et me couchai. Contre toute à attente j’aperçus des yeux.
Des yeux ? Oui des yeux de couleurs jaunes.
Était-ce vrai ? Je me pinçai pour sentir si c’était réel. Mais cela était bien réel.
Je commençai à transpirer de peur . Je ne sentais plus mes membres, je décidai d’allumer ma lampe... Je vis un clown.
Oui un clown ! Il s’approcha de moi, la bouche grande ouverte...

Le lendemain, il paraît qu’on me retrouva inanimée dans la cave, les mains attachées à une corde pleine de sang.

Que s’est-il passé cette nuit-là ?
Je ne le saurai jamais...

Vairac Lyana
Hadj-youcef Akila 4e2

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L’homme sans visage

Je me souviendrai toute ma vie de cette soirée festive.
Ce soir-là mes parents avaient organisé une fête .
Quand la fête fut terminée , on me demanda de sortir les poubelles. En marchant , je vis un poteau, sur ce dernier il y avait une annonce qui attira mon attention. Le texte disait que la police recherchait un homme sans visage .
Il était : chauve, avait un long cou, avait la bouche et les yeux cousus et avait des larmes de sang . La police le décrivait comme étant un homme très dangereux et mystérieux .
Je fus totalement terrorisée. L’affiche précisait que dans la nuit noire et profonde rôdait un homme au manteau noir et sans visage , avec un rire malsain et atroce comme une sorcière poursuivant les personnes avec une hache.
Cette histoire me glaça le sang.
Quelle idée de me demander de sortir jeter des bricoles , en pleine nuit !
Je marchais pour rentrer puis j’entendis un bruit , je me retournai mais je ne vis personne .
J’entendis un ricanement machiavélique . Je fus paralysée d’horreur... je sentis un souffle sur mon cou.
Je me retournai, je vis l’homme en question puis le lampadaire s’éteignit. Je pris mes jambes à mon cou et me mis à courir sans regarder derrière moi et tournai dans une étroite et sinistre ruelle .
Je ne retrouvai plus le chemin pour rentrer : le personnage indescriptible qui était derrière moi courait avec sa hache .
Ô Malheur !!
Je crus mourir... Nulle part où aller j’étais perdue ! Il s’approcha de moi toujours avec son rire des plus terrifiants.
Il disparut sous mes yeux !
Ce fut comme une téléportation .
Comment avait-il pu faire ? Où était-il ? Que devais-je faire ?
Toutes ces questions me trottaient dans la tête. Mon cœur battait le chamade , je suffoquais de peur. Puis, une sensation horrible s’empara de moi .
Comme si on m’observait j’étais complètement désorientée.
Soudain, il réapparut derrière moi , mon cœur fit des bonds phénoménal .
Il s’approcha et ricana de plus belle, il fit apparaître une chaîne de fer dans sa main .
Un silence se fit comme si le temps s’était arrêté.
Une douleur s’empara de moi, mon sang coulait et je perdis connaissance .
On me réveilla dans ma chambre mais tout semblait différent dans la rue en-face de ma propriété quelque chose d’étrange planait.
Les femmes ne parlaient plus de cet homme, plus d’annonce le concernant. Mais en repassant dans la ruelle je vis une chaîne semblable à la mienne et des gouttelettes de sang.
Depuis, chaque soir, j’entends son ricanement qui résonne dans ma tête .

Lucine-Kloane

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Le jeux de société

Autrefois, Enzo et Léa aimaient beaucoup jouer aux jeux de société avec le grand père de la jeune fille, mais un jour, les deux jeunes décidèrent de ne plus y jouer, après la mort de ce dernier.

Un soir, Enzo attendit sa copine chez lui. La sonnette de la porte retentit et il l’ouvrit. Il la ramena dans le salon et ils regardèrent un film.
Quand tout à coup ils furent surpris par le bruit de la porte. Enzo partit l’ouvrir mais il ne vit personne sauf un colis par terre. Il appela Léa. Elle se demandait ce qu’il se passait.
A qui appartenait ce carton ? Pourquoi n’avait-il pas de nom ni de destinataire ?
Ils partirent dans le salon. Enzo voulut ouvrir la fameuse boîte, mais sa copine, n’était pas de son avis. Enzo finit par ouvrir le carton, ils aperçurent une boîte emballée. C’était un jeu de société. Léa le trouva très étrange. Enzo voulut absolument y jouer.

Ils y jouèrent mais ne virent pas le temps passer, il était bien minuit, quand soudain Léa sursauta de peur après avoir entendu un bruit. Elle se posa des questions. Elle demanda donc à Enzo s’il l’avait aussi entendu. Mais celui-ci ne l’avait pas entendu. Alors Léa décida de prendre l’air dehors.
Pendant qu’Enzo était toujours chez lui, Léa décida de rentrer après être restée plus d’une demi-heure à respirer l’air frais.

Quand elle aperçut la maison, toutes les lumières étaient éteintes. Elle pensa alors qu’Enzo s’était endormi. Quand elle franchit le palier de la porte elle n’entendait plus rien, aucun bruit, comme si elle était devenue sourde. Jusqu’au moment où elle sentit une présence près d’elle. Son cœur battait à mille à l’heure. Elle n’ eut même pas le temps de se retourner qu’elle entendit un gros et immense bruit. Elle hurla de toute ses forces et tomba sur le sol.
Dès qu’elle ouvrit les yeux elle vit un clown.
Un clown terrifiant.
Un clown horrible avec une grosse et énorme touffe de cheveux rouges, il avait des griffures sur tout le visage, il était taché de sang.

On retrouva Enzo et Léa allongés sur le canapé tachés de sang. Léa remarqua que le jeu de société avait disparu.

Sabrina, Edanur et Salma 4e2

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La nuit folle

Je me rappelle de cette histoire terrifiante, c’était bien il y a un an, j’étais allée dormir chez ma meilleure amie Elie. On préparait les lits et les valises pour notre départ en vacances.

Je connaissais bien la maison de mon amie. Je pouvais m’y promener les yeux fermés. Au moment du dîner, je dus retourner dans la chambre quand je me rendis compte que la croix religieuse qui trônait dans le couloir était à l’envers, je pensai alors qu’Elie m’avait fait une blague.
Je partis au toilette quand j’entendis quelqu’un toquer à la porte, pourtant il n’y avait qu’Elie et moi à la maison sachant qu’elle était sortie promener le chien . Elle revint sans le chien seulement la laisse à la main, ensanglantée .Elle me dit que le chien s’était enfui.

Plus tard dans la nuit, quand nous étions en train de dormir, je me levai pour aller boire un verre d’eau, la lumière s’éteignit et moi qui ne croyais pas en ces choses-là, je pensai que la lampe s’était cassée. Quand je sortis, la lampe se ralluma mystérieusement. Je descendis pour me recoucher quand je vis Elie qui était tirée par une force invisible vers l’extérieur du lit, elle tomba au sol. Effrayée et avec prudence je l’avais remise sur le lit et j’avais tenté de la réveiller, sans succès.

Effrayée je finis par m’endormir dans le salon accablée de fatigue.
Plus tard dans la nuit, Je me réveillai au bruit d’un objet tombé dans la chambre d’Elie. Je descendis dans la chambre. J’arrivais à la chambre quand je surpris Elie chantonner un air diabolique face à la fenêtre mais son corps était face à moi. Je vis l’armoire à l’autre bout de la pièce, je compris alors qu’elle avait jeté le meuble mais comment ?!
La confusion commença à me chambouler et mon sang ,mon sang commença à se glacer et à me figer sur place. Elle tourna sa tête qui craqua, son visage était déformé comme s’il avait été brûlé vif.

Le sol commença à trembler , je me précipitai vers la porte , quand je franchis la porte plus rien.
Une personne posa sa main sur mon épaule. Je m’évanouis.
Au petit matin, la mère de mon amie me retrouva allongée sous le lit.
Était-ce un rêve ? Je m’inquiétai lorsque je vis les marques de griffures sur mon épaule.

Jessica & Raquel

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The Clown of Death

Autrefois j’aimais beaucoup Halloween. Je ne ressentais jamais de peur face à cet événement.
Je ne croyais pas aux fantôme au contraire. J’étais une personne très joviale. J’aimais effrayer mes amis. Je n’aurais jamais cru que cela pouvait m’arriver à moi.

Un soir d’Halloween, je décidai de sortir avec mes amis, pour aller demander des bonbons chez les gens. Mes copains étaient à vélo et moi à pied. Nous passions de rue en rue quand tout à coup, au début d’une ruelle, la pénombre devint inquiétante.
Nous étions seuls, bizarrement un soir où tous les enfants devaient, être dehors.
Il n’y avait personne au loin, on voyait un lampadaire qui s’ allumait et s’ éteignait.
Alors nous décidâmes de nous approcher de plus en plus de la lumière. Nous vîmes quelqu’un au fin fond de la rue qui avait un rire atroce.
Un rire si terrible qu’il me glaça le sang.
Mais quand nous nous approchâmes, nous vîmes qu’il s’agissait d’un clown... un clown tueur.
Mais quatre autres clowns arrivèrent. Alors je me retournai et je ne vis plus mes amis.
Dans un mouvement incontrôlé, je courus, mais ils m’encerclèrent et me frappèrent. Je ressentis soudain une douleur intense.
Je m’évanouis.
Je me réveillai à l’hôpital avec quelques blessures mais avec tous mes doigts.

Je pensai donc que tout cela était un mauvais cauchemar mais soudain l’effroi s’empara de moi lorsque j’aperçus une marque rouge tout autour de mon annulaire.

Kurtys jordan clément

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VALAAK

Ce soir-là, avec ma femme nous étions en route en direction de la Forêt Noire tant réputée pour ses faits paranormaux. Cela faisait tellement longtemps que nous voulions aller voir cet endroit car nous ne croyions pas aux phénomènes paranormaux. Nous arrivâmes sur place. Nous étions au mois de juin, nous installâmes le campement.

Étrangement, il faisait un froid glacial en plein mois de juin. Nous étions surpris par ce phénomène. Ma femme me proposa de partir chercher quelques couvertures.

En revenant nous vîmes des traces de sang sur les arbres, six arbres avec chacun une lettre et le chiffre six au-dessus de celle-ci. Nous lûmes entre eux : « Valaak ». Nous pensâmes qu’il s’agissait d’un code.

Je tremblai de peur, de terreur, de frisson. Le sang sur les arbres, les inscriptions, le froid glacial en plein été... J’étais traumatisé !
Pris de panique je regardai ma montre, mais elle ne fonctionnait plus.
Quelle heure était-il ?
Je ne sais pas je ne sais plus. Un orage tout droit venu des enfers éclata, le feu s’éteignit. Je pris mon téléphone pour m’en servir comme torche. Ma batterie était presque vide. Il restait 5% de batterie, pris de peur j’essayai de fuir vers la voiture avec ma femme. En route l’orage fit tomber un arbre qui s’écroula sur la voiture qui la détruisit en mille morceaux, j’étais horrifié !
Désespére je voyais les pourcentages qui diminuaient. Mon cœur battait a chaud ...4%. Je vis, un énorme, terrifiant, impitoyable aigle noir qui poussait un énorme gloussement... 1%.
A ce moment là l’enfer reflétait cette forêt. Il était là le diable incarné. Il était tout noir avec des yeux tout blancs comme le reflet des nuages. Il était coupé de son cou au ventre, sa peau tombait, elle formait un V. Pris de terreur je m’évanouis.

Plus tard, je me réveillai dans un lit j’avais une cicatrise en V sur mon torse, j’avais tellement mal que j’en pleurai.
J’essayai de marcher avec difficulté j’ouvrai la porte, je marchai dans un long couloir sombre, au bout, une petite lumière, un genre d’affiche il était écrit : hôpital psychiatrique.

Nassim et Paulo

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Nouvelle fantastique

Ce soir , je me dépêchai de rentrer chez moi ! J’étais enfin libre , ma mère avait dû s’absenter pour quelques jours à cause d’une histoire de famille alors à moi la liberté !

A moi la liberté absolue ce week-end ! Même Praline n’est pas ici, la pauvre quelques jours plus tôt ma mère avait dû l’emmener chez le vétérinaire et on avait dut la récupérer quelque temps après .
Arrivée chez moi , je pris une douche , finis mes quelques devoirs , me préparai à manger et m’installai très confortablement devant la télé qui allait être mon compagnon pour les prochaines heures …

Je m’endormis devant une série anglaise , je me réveillai d’un coup car j’eus froid , le souffle du vent parvint jusqu’à moi et je ne pus me rendormir ! Je me dirigeai vers la cuisine pour me rafraîchir un peu et …

Je le vis .

Dans l’armoire à verre , ma mère croyait que je ne le voyais pas et que je ne le verrai jamais , mais cet album photo je le distinguai très impeccablement caché sous des affaires . Ma mère me l’a bien dit des dizaines et des dizaines de fois mais … J’avais bien envie de jeter un œil ! Oh et puis elle n’en saura rien après tout . Je tremblai tellement , j’eus hâte ! Je l’ouvris et …

Il y avait des photos de mes parents, de moi étant petite , avec mon père et on souriait, on paraissait tellement heureux…

Je compris pourquoi ma mère m’interdisait de voir cet album …
Pour ne pas me faire de la peine . Je continuai à tourner les pages et puis je me dis que tout allait bien . J’arrivai très vite à la fin de l’album mais d’un coup le vent souffla de plus belle.
Je sens que la dernière photo était collée mais prise par un désir incontrôlé je décidai de l’arracher ! J’attrapai un couteau et déchirai la glu qui séparai les deux photos , mon sang se glaça et je fus horrifiée … Deux photos , cet homme aux cheveux blancs dressés sur la tête , le visage bizarre .

Qui a pu prendre ces photos ?
Pourquoi avoir fait ça ?

Je fermai brutalement l’album et je constate que la temperature est en nette baisse !
je me retournai .
Un sentiment de peur m’envahit , je me retournai et je vis que l’homme qui était dans la photo ressemblait à celle de l’homme qui était derrière moi .

Mickaela et Sofia Cristiana

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La Cave De L’horreur !

Ce soir-là, mes parents étaient sortis et m’avaient laissé seul dans ma grande maison, tout seul. Alors j’appelai mon ami pour jouer avec moi. Une heure après, mes parents rentrèrent. Aussitôt je les vis descendre à la cave pour récupérer quelques affaires.
Je continuai à jouer puis soudain… je vis par la fenêtre que le soleil se couchait.
Il commença à faire sombre. Je trouvai cela étrange que mes parents n’étaient toujours pas remontés.
N’entendant plus de bruit, je décidai d’aller voir comme il se faisait tard. Mon ami rentra chez lui. Je pris une lampe avec moi car la lumière de la cave ne fonctionnait pas.
En descendant ma main glissa sur un liquide visqueux et froid et tout à coup j’entendis la porte de la cave qui se ferma brutalement derrière moi. Je sursautai de peur mais je continuai à chercher mes parents.
Tout à coup , j’entendis un cri horrible atroce et terrifiant. Un vent me glaça chaque membre, j’étais pétrifié, terrorisé, une peur que je n’avais jamais ressentie jusqu’à maintenant me traversa le corps.
Il me sembla qu’une présence, qu’une personne, qu’une ombre se rapprochait de moi tout doucement.
Il me sembla distinguer une main mais tout à coup je ne vis plus rien.
L’ombre disparut.
J’étais perdu dans le noir, un noir sans fin.
Mais où étaient ma mère et mon père ? Je criai... quand quelqu’un mit sa main sur mon épaule et me dit IL NE SONT PLUS LA !
Je me réveillai avec une douleur sur mon épaule...

Oussama, Marlon et Sami 4e2

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La pire nuit de ma vie

Ce soir-là, j’étais en route vers la Hongrie. Sur la route ma voiture tomba en panne, j’essayai de trouver de l’aide.
Et au loin je vis un homme étrange, vêtu d’une veste blanche.
Soudain il disparut dans les hautes herbes, j’éprouvai une immense peur. La silhouette me fit signe de partir mais je m’enfermai dans ma voiture.
Je revis l’homme dans les feuillages, il s’approcha de plus en plus. Je verrouillai les portes de ma voiture.
Je me retournai et il était là, l’homme habillé en blanc. Je passai la nuit dans ma voiture sans fermer l’œil mais le sommeil me tomba dessus. Quand je me réveillai, la ferme, les champs et l’homme en blanc avaient disparu mais j’aperçus sur le trottoir est que la veste blanche de l’homme était là sur le sol.
Waïl et Célia