Au coeur des nouvelles fantastiques avec les 4e1

Venez découvrir les nouvelles fantastiques de nos petits écrivains...
Dans le cadre de la séquence sur le fantastique, les élèves de 4e1 ont écrit des nouvelles à vous faire frissonner...
Bonne lecture !

La fille de l’hôpital

Ce soir-là, comme tout les soirs, je partis dans ma chambre pour dormir. Mais quand j’eus fermé la porte je commençai à sentir une présence qui m’observait.
Plus tard dans la nuit, vers trois heures du matin, je me réveillai brusquement par le bruit des fenêtres qui claquaient. Je m’avançai pour les refermer et je sentis une force m’envahir et par une puissance que je ne pus ni décrire ni comprendre, je partis vers un vieil hôpital abandonné.

Une fois arrivé, je redevins maître de mes mouvements. Je voulus m’enfuir au plus vite mais les portes de l’hôpital se refermèrent sur moi et m’assommèrent.
En me réveillant, je fus obligé d’avancer dans cet endroit qui ne m’inspirait rien d’autre que la peur. J’étais angoissé et j’entendais des pas ! Des pas ! toujours des pas de plus en plus forts et qui faisaient vibrer le sol.
Derrière la porte d’une salle d’opération, j’entendis des sanglots puis des cris de douleur comme si on m’appelait à l’aide. Je rentrai dans la pièce et plus rien alors je me retournai pour sortir et par le hublot de la porte, je vis une ombre.

En sortant, il y avait deux chemins, un à droite et un gauche. A droite, j’entendais des bruits qui étaient de plus en plus forts. Je fis donc demi-tour et je tombai sur une double porte. Je l’ouvris et marchai dans un long couloir sombre et étroit. Au bout de se couloir, j’aperçus une autre porte et un autre couloir ! Et une porte ! Et un couloir !
Au bout de ce dernier, j’aperçus une silhouette qui s’approchait très lentement de moi. Elle avait un regard vide avec des cheveux noirs qui lui cachaient tout le visage.

Elle s’approcha plus près, toujours plus près de moi. C’est à ce moment-là que je compris que j’allais perdre la vie mais, quand je voulus m’enfuir, mon corps ne voulut plus bouger.
J’étais paralysé par la peur, j’étais mort de peur et avant que je ne puisse hurler, cette créature à l’apparence d’une fillette possédée me sauta dessus et m’assomma.
Le lendemain je me réveillai dans l’hôpital et les les médecins me racontèrent qu’il m’avait trouvé allongé dans un couloir.

Fayçal et Iliès 4e1

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HALLOWEEN

C’était un mardi 31 octobre à 23h00, je me trouvais dans le salon à regarder des films d’horreur.
J’aimais beaucoup ce genre de films à sensations car aucun ne parvenaient à m’ effrayer.
Ma famille était partie chez des amis pour fêter Halloween, mais moi j’étais puni.
Tout à coup, il y eut une coupure d’ électricité. La télé et la lumière s’éteignirent.
Fou d’épouvante, je me dirigeai vers la porte d’entrée pour demander de l’aide à ma voisine mais tout était fermé. J’entendais des pas s’approcher vers la porte, puis des rires.
Mais que se passait-il ? Moi, je reculais encore et encore jusqu’à être collé au mur. Ensuite, j’entendis la porte s’ouvrir. Le stress et la peur montaient en moi.
Je courus puis montai les escaliers de chez moi à toute vitesse pour me réfugier dans ma chambre. Ma mère avait fermé la porte à clé pour que je ne puisse pas prendre mes jouets. Ma mère cachait toujours la clé dans le vase en verre qu’elle avait hérité de ma grand-mère.
Mes mains tremblaient tellement que le vase me glissa des mains malgré toutes mes précautions et se brisa par terre. Je pris la clé et m’écorchai avec un bout de verre. Mes mains étaient pleines de sueur, j’avais extrêmement chaud.
Mes pieds tremblaient, j’entendais mon nom se répéter.
Anas, Anas, Anas c’est tout ce que j’entendais.
Je mis la clé dans la serrure avec mes mains qui tremblaient, mais je tremblais tellement de peur que ce n’est qu’avec difficulté que je réussis, puis je tournai la clé dans la porte.
J’entrai dans ma chambre et la refermai aussitôt. Une sueur de mort me glaça chaque membre et je n’entendis pas d’autre bruit dans chambre que celui de mes dents qui claquaient de terreur.
Des larmes coulaient le long de mes joues. Je sentis une présence marcher à coté de moi mais je ne voyais personne. Je n’entendais que des pas, des pas et encore des pas ! C’était comme un félin qui traversait la pièce, je cherchais mais je ne voyais rien.
C’est comme si le temps s’arrêtait, je ne savais plus quoi faire, j’étais perdu.
C’est sur ces pensés que je m’évanouis de peur.
A mon réveil, je me retrouvai dans un lit dans une chambre d’hôpital, entouré de mes parents.
J’avais un bandage sur la main à cause de l’écorchure.
Après le passage du médecin, on rentra à la maison.
Arrivé devant la porte toute ma peur revint, je repensais à cette nuit de terreur et au vase préféré de maman.
A ma grande-surprise, j’aperçus le vase intact à sa place, je regardai ma main et m’aperçus que l’écorche et le bandage avaient disparu...

Sana, Yasmine, Zineb 4e1

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Clown

Autrefois, j’aimais beaucoup regarder des films d’horreur. Je ne ressentais jamais de peur et il en fallait beaucoup pour m’effrayer. Étant une personne très courageuse, je ne croyais pas aux personnages et aux monstres des films. Mais ma vie fut troublée par un événement fort étrange.

Un soir, mes parents ainsi que ma petite sœur étaient partis se coucher.
J’allumai la télé et je regardai un film d’horreur. Il était environ trois heures du matin, je comptai aller me coucher, je montai dans ma chambre. Il était si tard que je titubais, je m’allongeai sur mon lit.
Par une force inattendue, malgré moi, sans savoir, sans le vouloir, je me levai et j’allai vers la forêt. Je marchai au milieu des bois, au milieu des arbres fanés, dans la nuit noire, je marchai longtemps puis je tombai sur une usine abandonnée.
J’y entrai par la porte principale. Il faisait sombre, j’entendais des bruits, des cris, des claquements de portes. Je marchai dans l’usine, il y avait plein de cartons, de grosses machines dont j’ignorais l’utilité.
Je vis une pièce, je regardai par le hublot , je ne vis personne, je me tournai pour repartir et j’entendis un bruit. Je vis que la porte était ouverte.
D’un coup, un homme que je ne parvins à reconnaître, avec une hache, sortit et me blessa au bras.
Je hurlai.
Le plus terrible hurlement qui soit jamais sorti de poitrine vivante.
Je courus le plus vite possible mais les gouttes de sang lui permettaient de me suivre.
Je descendis au sous-sol et je ne le vis plus.
Quelques minutes plus tard, je décidai de remonter, je marchai tout doucement, sans faire de bruit et arrivé en haut, je sentis derrière moi quelqu’un qui se baissait à toucher mes cheveux...
Je me tournai et je vis un clown avec une hache à la main, du sang qui coulait sur son costume et il n’avait pas de tête : un clown tueur sans tête se tenait debout devant moi et d’un coup je m’évanouis.
On me retrouva inanimé dans mon lit.

MALEK SIHEM ASSIA 4e1

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LA NUIT DANS UN STADE

Ce soir là, c’était mon anniversaire, j’étais chez moi.
Des amis étaient venus comme ils le faisaient chaque année, au mois de janvier, pour me rendre visite dans ma demeure.
Nous fêtions mon anniversaire et pour ce faire, mes amis avaient invité deux clowns. Il y avait beaucoup de gens chez moi. La fête battait son plein.
Vers vingt-et-une heures les deux clowns arrivèrent. Ils firent rire tous les enfants mais leurs attitude semblait étrange. Leurs yeux laissaient entrevoir une haine indescriptible. Puis ils partirent sans même prononcer un mot.

Une semaine plus tard, je me rendis au stade à vingt-deux heures passées.
Je courais tout seul. Je n’avais jamais eu peur le soir.
Mais cette fois-ci, j’eus une peur horrible.
Tout à coup, j’ aperçus au loin une silhouette se dirigeant vers moi avec un grand sourire, des lèvres rouges, des cheveux de plusieurs couleurs. Son dos était courbé. Dans sa main gauche il tenait une hache, dans sa main droit un marteau.
Il était comme un animal, ses dents étaient aiguisées et pleines de sang : il était terrifiant, inquiétant.
Soudain, il commença à courir vers moi, et moi je me sentis mal, j’eus le vertige. J’éprouvai une peur intense, je regardai derrière moi, je criais à l’aide deux fois et quand je regardai devant moi c’était sans doute lui qui était déjà là.
Ses longs ongles touchèrent mon visage, je suffoquai de peur. Avec sa main droite, il prit un élan puis il s’approcha. Il mit ses ongles dans mes yeux. Je ressentis une forte terreur, j’étais tétanisé, j’avais la chair de poule, je ne bougeais plus, j’étais paralysé.
Soudain, je m’évanouis .
Avais-je rêvé ?
Je me réveillai et crus bien que ce cauchemar me traumatiserait pendant longtemps.
C’est alors que j’aperçus prés de mon lit la perruque de ce personnage venu des ténèbres.

Amir et Melvin 4e 2
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Un cadre bien mystérieux

En cette période hivernale, mon mari et moi avions prévu de quitter la région. Nous devions déménager dans cette vielle et belle maison reculée.
Il était bien 20 heures, le camion de déménageur ramena les derniers cartons et se bloqua dans la neige. Ils prirent les cartons et les déposèrent dans la maison.
Nous avions spécialement aménagé la chambre de notre bébé de deux mois. Nous l’avions installé dans une chambre de prince au fond du couloir. Dans sa chambre, nous trouvâmes un cadre sombre que les anciens propriétaires avaient sans doute oublié. Il allait parfaitement avec la chambre de notre fils. Nous décidâmes de le garder.
Plus les jours passèrent et plus notre bébé ne cessait de pleurer. Parfois même, il nous réveillait quatre fois par nuit. Mais étrangement ses crises de larmes était plus fortes vers trois heures du matin.

Une nuit, je fus réveillée par un bruit étrange. Je me levai en sursaut, allai en courant dans la chambre du bébé, ouvris la porte et soudain aperçus au sol un vase cassé en mille morceaux. Je ne voyais que des morceaux, des morceaux et encore des morceaux. J’ étais terrorisée, abasourdie. Mon enfant faisait une crise de larmes très inquiétante. Cela était vraiment étrange.
Comment ce vase était-il tombé ?
Je pensai alors que cela, pouvait être le vent.
NON ! Ce n’était pas possible, la fenêtre était fermée. A mon avis le vase devait être au bord du meuble. Je n’en n’étais pas sûre ! J’étais vraiment perplexe, apeurée...
J’essayais de trouver une raison logique en même temps que je tentai de calmer mon bébé. Mais rien n’y faisait. Je retournai me coucher.
Une heure plus tard, j’entendis le bébé pleurer de toutes ses force.
Je me levai, allai en courant dans sa chambre, j’étais vraiment apeurée. Je poussai un cri jamais sortit de poitrine vivante. Je vis le bébé à terre ! Pourquoi mon enfant était-il à terre ?
Pourquoi mon vase était en mille morceaux ?
Je croyais que je perdais la tête. Je voulus savoir comment cela s’était passé.
Tout à coup, le cadre si mystérieux tomba devant moi ! Je le ramassai et et au moment de le repositionner je vis une petite porte. J’essayai de l’ouvrir mais impossible.
Alors j’allais à la cuisine, pris un couteau, retournai à la chambre et ouvris la porte.
Ce fut un choc terrible !! J’étais terrifiée, tétanisée...
Il paraît qu’on me ramassa inanimé sans mon bébé.

Ines et issraa 4e1
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Une étrange maison

Moi, Shayna rédactrice du journal du collège, il me fallait un bon sujet, un exceptionnel pour accrocher mes lecteurs !
Cette semaine-là, il y avait des questions que tout le monde se posaient :
« Est-ce que la maison près du collège était hantée ? Qui y vivait ? » personne ne savait.
Alors , je décidai de mener ma propre enquête. Je pris la décision de m’y rendre seule le samedi suivant …
Une fois sur place, j’ouvris la porte.
« Il y a quelqu’un ! », dis-je frissonnante d’effroi.
Personne ne répondit.
Apeurée et immobile, je ne bougeais pas.
Devant moi se trouvait un escalier. Je me pressai de monter puis je vis une photo de famille. Cela devait être les personnes qui vivaient ici auparavant. Je décidai alors de visiter le rez-de- chaussée avant l’étage.
Il y avait de la vaisselle sale, une table dressée et des bougies presque éteintes. Il commençait à se faire tard donc je décidai de rentrer chez moi et poursuivre ma recherche sur internet car cet endroit ne m’inspirait pas confiance. C’est comme si cette maison était encore habitée mais en même temps abandonnée.
Il était minuit et je fis une découverte stupéfiante. Toute la famille que j’avais vue sur cette photo était morte dans cette maison mais jamais les corps n’avaient été retrouvés .
Je m’endormis alors devant ce document ...
Deux heures après, je ressentis une envie de repartir dans cette maison. Une force incontrôlable m’y poussa.
Une fois arrivée, je me dirigeai vers une porte où il était inscrit « Ne passez pas cette porte ».
Inconsciente j’ouvris la porte ; il y avait des miroirs, des bougie, des statues et des offrandes . Sur le mur une inscription était visible : « Nous ne sommes pas morts ».
Devant moi se trouvait un livre dans lequel était relatée toute la vie de la famille jusqu’à leur mort. Une page du livre m’avait interpellée :
« J’ai tué ma femme et mes enfants pour avoir de l’ argent »

Le lendemain je me réveillai dans mon lit sans savoir si ce que j’avais vu était un cauchemar ou la réalité.
Maeva et Emmanuella 4e1

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Dans les catacombes de Paris

Ce soir là,c’était la la soirée d’Halloween.
Nous avions organisé une soirée spéciale dans les catacombes de Paris en faisant croire à nos parents que nous allions chercher des bonbons.
Arrivés aux catacombes, Julien recula et s’exclama :
« Les gars, on ferait mieux de partir ! », Serge répondit alors :
« Trouillard ! , tu te dégonfles ? ».
Il y eut un grand silence puis nous reprîmes enfin notre chemin.
Il faisait très sombre, à vrai dire, on ne voyait pas grand chose.
Tout à coup ! Robert tomba dans un trou, c’est ce que je pensai sur le moment, mais lorsque je me rapprochai, je vis deux mains sur le sol. Tremblant et rempli de terreur, je me retournai et ne vis plus mes amis.
Je criai de toutes mes forces et je courus espérant les retrouver. Essoufflé , je m’arrêtai et regardai autour de moi.
Et là, des corps d’humains sanglants jonchaient le sol. Je sentais mon cœur battre de plus en plus fort et mes paupières se fermaient à cause de cette grande frayeur...
Je me réveillai et vis une créature blanche qui m’avait porté et ramené chez moi.
Depuis ce jour-là, je suis encore traumatisé par cet événement inexplicable . Je continue de vivre dans le mystère, la peur et le doute.

Chaymaa, Laura et Sheima 4e1

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LE FAUCHEUR

Mes amis et moi, nous étions partis camper à la forêt de Versailles dans un petit cabanon.
Le soir-même, nous avions fait un feu de camp.
Nous étions en train de jouer de la guitare, dans la joie et la bonne humeur, quand soudain, on entendit un bruit dans les buissons.
Mon ami alla voir. Tout à coup un homme immense avec une hache en guise de bras gauche surgit et essaya de lui trancher la tête. Je m enfuis pour aller me cacher dans la cabane. Je me cachai sous un lit. Je sentais glisser les gouttes de sueur sur mon front et dans mon dos, mes mains tremblaient.
Je n’entendais pas d’autre bruit dans la cabane que celui de mes dents qui claquaient de terreur.
J’entendis la porte du cabanon s’ouvrir, je vis des pieds avec une hache pleine de sang qui frottait le sol.
J’eus si peur que quand le faucheur partit, je pris mes jambes à mon cou pour fuir et me cacher dans la forêt. Je réussis à trouver une arme pour me défendre. C’était un morceau de bois aiguisé.
Je pensais être sauvé ! Sauvé !
Quand je vis mon ami se faire attraper par le faucheur, je lui sautai dessus. Il lâcha prise et je vis mon ami à terre inanimé. J’eus le temps de m’enfuir.
Au loin, je vis une grange, quand j’arrivai là-bas, je vis une voiture .
Par chance il restait de l’essence et les clés étaient sur le contact.
Je pris la voiture pensant être sorti d’affaire... et au milieu de la route le faucheur prit son élan et rien qu’avec la force de ses mains, il arrêta la voiture.
Quand je vis cette prouesse, j’étais sûr que j’allais mourir. C’est alors que le faucheur me prit par le cou et je me réveillai sur un lit d’ hôpital.

Rayane 4e1

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IL SE

J’étais gravement malade, touché par une bronchite, je fus bloqué au lit pendant deux semaines à l’hôpital.
Je souffris énormément, je fus pris surtout de longues crises d’étouffement.
Enfin les antibiotiques permirent à mes forces de revenir peu à peu et je fus bientôt en mesure de sortir de l’hôpital.
Je me dirigeai chez moi et tout à coup je tombai au sol sans pouvoir me relever et je m’évanouis.
Quelques heures plus tard, je me retrouvai dans un géant labyrinthe désertique, je restai dans cet endroit un jour sans manger ni boire. Je dormis une nuit.
Le lendemain, je trouvai devant moi un bol de soupe que je bus. Je me lançai dans la recherche de l’issue pour trouver la sortie du labyrinthe pour rentre chez moi.
Sans le savoir, je marchai sur un piège qui enfonça mon pied. Des insectes y sortirent et grimpèrent le long de ma jambe.
J’eus très peur à ce moment, je pris mes jambes à mon cou, puis j’entendis des bruits de tronçonneuse alors je courus très vite.
J’arrivai devant une porte que j’ouvris et là un grand vide !
On me poussa, je fus pris de panique. J’atterris sur un matelas tout usé qui amortit ma chute.
Je fus soulagé, je vis une autre porte s’ouvrir toute seule.
Je tombai sur une pièce vide toute éclairée : elle me glaça le sang et toujours ce bruit de tronçonneuse qui se rapprochait de plus en plus. L’ombre d’une personne dans la lumière apparut et là je tombai...
Naïm 4e1