Il était une fois...les contes merveilleux avec les 6e2

Venez découvrir les contes merveilleux de nos petits écrivains...
Dans le cadre de la séquence sur l’univers merveilleux du conte, les élèves de 6e2 ont écrit des contes magiques...
Plongez avec eux dans un univers féerique et imaginaire...
Bonne lecture !

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Rubis et les trois trolls

Il était une fois une princesse du nom de Rubis qui adorait l’aventure. Néanmoins son père voulait qu’elle se marie, mais pour Rubis il en était hors de question, car elle préférait jouer avec ses amies.
Elle était amie avec trois trolls du nom de Belle, Bulle, et Rebelle. Belle était très sérieuse, Bulle adorait tout ce qui était mignon, et Rebelle adorait se bagarrer, et aussi elles étaient toutes de petite taille. Et c’était les meilleures amies du monde.

Un jour, Rubis apprit qu’une Reine cruelle terrorisait le village. Pour Rubis c’était une occasion en or pour montrer ses talents d’aventurière et pour prouver à son père qu’elle n’était pas prête pour le mariage. Elle décida de combattre cette reine avec ses trois amies.
Rubis et les trois trolls s’enfoncèrent dans la forêt puis soudain ils trouvèrent le château de la reine. Pour rentrer dans le château Rubis et ses amies se déguisèrent en gardes, puis tout à coup la reine surgit et dit :
  « Vous êtes des intrus, AU CACHOT ! ».
Une horde de gardes les emmenèrent dans le cachot, et les quatre amis furent enfermés dans le cachot. Les trolls étaient terrorisés d’être enfermés, Bulle criait :
  « On va tout va mourir »
Rubis et les deux autres trolls répétaient que non.
Rubis élabora un plan pour s’enfuir de ce cachot :
  « Calmez-vous les filles j’ai une idée. Quand un garde s’endormira, nous lui prendrons ses clés, et nous nous enfuirons. »

Ils sortirent du cachot pour trouver le miroir de la reine pour la transformer en statue. Ils se faufilèrent dans la chambre de la reine pour attraper son miroir, puis Rubis chuchota :
  « CHUT ! les filles, pas un bruit »
Bulle éternua :
  « atchoum ! »
  « CHUT ! Bulle » rétorquèrent les filles
La reine entendit l’éternuement de Bulle :
  « Vous avez entendu quelque chose mon garde :
  « Non » répondit le garde.

Rubis attrapa le miroir de la reine. La reine vit Rubis essayer de voler son miroir. Heureusement pour la reine elle avait une pierre magique, sauf que Rubis était plus rapide que la reine et le sort de transformation se retourna contre la reine et elle fut transformée en statue.

Le village était libéré du règne de la méchante reine. Rubis et ses amies vécurent heureuses dans la joie et la bonne humeur.

Morale : on n’a pas besoin d’un mari pour vivre sa vie !
Maili, Hiba, Koita 6e2

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ELODIE ET LA SORCIERE

Il était une fois, une villageoise qui s’appelait Élodie. Elle était très gentille et avait bon cœur. Elle adorait enseigner aux enfants du village. Elle était riche et donnait de l’argent aux pauvres gens.
Non loin du village où vivait Élodie, vivait une sorcière diabolique, effrayante, médiocre, au regard noir, ignoble et très méchante qui détestait les enfants bien éduqués et qui détestait surtout qu’Élodie puisse enseigner aux petits villageois. Elle tyrannisait le village et tout le monde était effrayé par cet être maléfique.
La sorcière vivait dans château gardé par un dragon pour que personne ne puisse y entrer. Elle avait une baguette magique faite de bois et de plantes venimeuses. Élodie n’était pas toute seule à enseigner aux enfants, elle avait un ami qui s’appelait Quentin. Il était très gentil, mais avait un frère égoïste et parfois cruel qui ne pensait qu’à lui et aimait s’en prendre à Quentin pour le plaisir de le voir souffrir. Il s’appelait Benjamin.
Un lundi ensoleillé, la sorcière vint au village pour son passe-temps favori : faire peur aux villageois.
Quand elle vit Élodie et Quentin qui enseignaient les bonnes manières aux enfants, la sorcière furieuse fit partir tous les enfants et dit aux deux amis d’une voix terrible :
• « Si je vous vois encore une fois avec des enfants je vous changerai en statues de pierre, me suis-je bien fait comprendre ? »
• Oui, répondirent en cœur les deux instituteurs apeurés par cette promesse.
Après quoi les deux amis repartirent chez eux en sanglotant.
Quand Quentin rentra chez lui, avec les yeux mouillés par les larmes, son frère lui dit d’une voix moqueuse :
• « Qu’est-ce que tu as ? Élodie n’ a pas accepté ta bague de mariage ?
• Oh mon frère , pourquoi es-tu si méchant et cruel avec moi ? On pourrait tellement partager de choses ensemble et je serai tellement fier d’être ton frère.
• Pff je n’ai pas besoin d’être gentil pour qu’on m’aime, rétorqua Benjamin.
Quentin essuya ses larmes et dit à son frère :
• Puisque tu ne m’es d’aucune aide, je préfère aller chez Élodie. On va peut-être trouver une solution. »
Et il s’en alla chez Élodie, désespéré une fois de plus par l’attitude de Benjamin.
Quentin arriva chez Élodie plus déterminé que jamais à trouver une solution pour arrêter définitivement les agissements de la méchante sorcière et ils réussirent à trouver une solution.
Ensemble ils se rendirent au palais de la sorcière pour la combattre et pouvoir continuer à instruire les enfants, mais cela ne se passa pas comme prévu.
Quand ils se trouvèrent devant le palais, le gardien dragon commença à leur cracher du feu mais ils réussirent à le distraire et purent entrer dans le palais.
La sorcière les entendit pénétrer à l’intérieur et n’hésita pas à se munir
de sa baguette pour les transformer en statues de pierre.
Mais à ce moment-là, le frère de Quentin, Benjamin arriva et tira une flèche de l’arc appartenant à Quentin et la sorcière se changea en une statue de pierre. Quentin prit alors la baguette de la sorcière et la cassa en mille morceaux et au même moment le dragon se changea en un magnifique cheval.
Quentin courut dans les bras de son frère et l’embrassa :
• « je suis tellement fier de toi,mais pourquoi es-tu devenu gentil ?
• Une fée est venue me délivrer du sort que la sorcière Griselda m’avait jeté.
• Alors comme ça elle s’appelait Griselda cette méchante et cruelle sorcière !!! s’écria Élodie »...

Les jours suivants Élodie et Quentin ouvrirent une école dans l’ancien palais de Griselda où tous les enfants du pays vinrent étudier et ils finirent leurs dans la joie et la bonne humeur tout en enseignant leurs savoirs aux enfants.

Morale :
L’enseignement de l’enfant est très important, grâce à ça il connaît beaucoup de choses. Il ne faut surtout pas l’en priver.

Yasmine Jgahimi,Soheila Djelleb et Sara Bouakkaz 6e2

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La bonté de Mohamed-Amine et du Prince Yanis

Jadis, il y a fort longtemps dans un pays inconnu, un homme qui se nommait Mohamed-Amine était gentil, très fort et courageux. Malgré sa bonté, il vivait pauvrement avec sa famille car le roi de son pays n’aidait pas ses sujets.
Un jour, un dragon vint dans le pays et cela provoqua la peur des habitants. Le dragon était effrayant, inquiétant et menaçant avec un regard noir. Il était aussi cruel, bestial, agressif, très colérique et vraiment pas intelligent.
Un prince, qui se nommait Yanis, avait entendu parler de la terreur régnant dans ce royaume. Il vint d’un autre pays pour aider les habitants. Mais le roi était du côté du dragon pour survivre. Le vaillant Mohamed-Amine et l’audacieux Yanis s’unirent pour tuer le dragon et le roi. Ils se mirent en route mais ils durent tuer la garde royale qui était composée de plus de cent soldats. Après un combat glorieux, ils rentrèrent pour soigner leurs blessures car le combat avait été très difficile mais des soldats les suivirent. La famille de Mohamed-Amine eut très peur mais comme toujours Mohamed-Amine, plus courageux que jamais, avec l’aide de son compagnon, partit se battre contre les soldats. Ils les tuèrent tous.
Peu de temps après les deux chevaliers trouvèrent une fée qui était blessée. Les deux jeunes hommes décidèrent de la soigner. La fée fut tellement reconnaissante qu’elle leur demanda de faire un vœu. Mohamed Amine dit :
« Prends le pouvoir sur le roi et fais en sorte qu’il donne toute sa richesse et qu’il devienne gentil avec tous ses sujets. » Elle hocha de la tête et partit.
Le roi donna toute sa richesse à ses sujets. Tout le peuple et les habitants furent heureux mais ils avaient oublié le dragon.
Mais avec l’argent du roi les deux chevaliers achetèrent une arme, tuèrent le dragon et Mohamed-Amine devint le roi du pays. Quant à Yanis, il ne rentra pas chez lui car il épousa la sœur de son courageux compagnon.
Ils finirent leurs jours dans la joie et la bonne humeur.
CE N’EST PAS LA RICHESSE QUI FAIT LA PERSONNE, MAIS LA BONTE.
MOHAMED-AMINE ET YANIS 6e2

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Le fantôme du manoir hanté

Il était une fois, un jeune garçon qui s’appelait Pierre. Il habitait avec sa petite sœur et ses deux tantes. Pierre était un garçon gentil, bon, honnête et courageux. Ses deux tantes étaient très méchantes.
Un jour, ils déménagèrent dans un manoir. Le manoir était très poussiéreux. Les deux tantes ordonnèrent à Pierre de nettoyer le grenier. Pierre redoutait ce moment car il avait peur du noir. Il entra en tremblant de peur dans la pièce. Il vit un fantôme blanc, laid, et effrayant.
Puis une fée apparut. Mais le fantôme et les deux tantes s’échappèrent du manoir. Soudain, Pierre vit un miroir magique. Dans le miroir, il vit ses deux tantes, habillées en sorcière. Il comprit alors qu’elles étaient maléfiques.
Les sorcières avaient prévu de faire du mal à Pierre et à sa sœur. La fée décida alors de les statufier pour les punir de leur méchanceté. Soudain le fantôme disparut lui aussi à tout jamais.
Pierre continua sa vie avec sa petite sœur et ils finirent leurs jours dans la joie et la bonne humeur dans un grand et magnifique manoir.
MORALE : La vraie personnalité se trouve à l’intérieur de notre coeur.
ETTAHIRI AMINE et BAKHA AYMANE 6e2

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LES BISOUNOURS ET LE MONDE MALEFIQUE

Il était une fois, dans un pays lointain, existaient deux mondes différents et complètement opposés. Le premier était imaginaire et féerique. Il y avait des bisounours, des sortes de nounours en peluche tout doux et agréables.

Un jour un des bisounours fit la découverte de ce deuxième monde sombre et inquiétant... Un monde très noir et gigantesque. Les bisounours allèrent chercher leur ami et ils furent choqués par la pénombre de celui-ic.
Tout à coup un monstre surgit de nulle part, et il les attaqua. Une créature magique et somptueuse arriva, c’était une elfe.
L’elfe et le monstre firent un duel. L’elfe fut déçue de sa défaite et elle était pétrifiée par la voix du monstre. Les bisounours allèrent à sa rescousse. Ils utilisèrent leur pouvoir magique (le pouvoir arc-en-ciel, luminosité...) pour vaincre le monstre. Ils réussirent à battre le monstre. Il n’était pas question que le monstre l’emporte.
Le monstre se réveilla dans les nuages en train de descendre l’arc-en-ciel. IL descendit dans le monde merveilleux et devint ami avec tous les bisounours et l’elfe.

Les bisounours utilisèrent leur pouvoir pour rendre le deuxième monde magique et féerique. Ils vécurent heureux et eurent beaucoup de petits bisounours.

MORALE : Il ne faut jamais hésiter et toujours tenter le coup.

Noa, Océane et Tychique 6e2

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L’Emerode du royaume

Il était une fois, une princesse qui s’appelait Emerode. Elle était belle, sage, intelligente et de sang royal mais elle ne le savait pas car elle avait été kidnappée dès son plus jeune âge par une sorcière. Emerode ne pouvait pas voir le monde extérieur. Elle avait un caméléon rose pastel qui lui tenait compagnie. Elle voulait s’enfuir car elle trouvait cela bizarre d’être constamment enfermée. Mais malheureusement la sorcière l’avait condamnée à rester dans une chambre mais parfois elle avait accès au châteaux entier quand la sorcière allait au marché. Les parents d’Emerode étaient si tristes d’avoir perdu leur enfant si chérie.
Un jour, un prince qui s’appelait Gustave voulait échapper aux gardes qui le poursuivaient et il trouva un refuge dans le château. Par chance la sorcière avait mal fermé les portes car elle commençait à vieillir.
Gustave entra dans le château en voulant se cacher. Il fit un vacarme énorme. Emerode entendit le bruit en pensant que sa mère était rentrée. Elle envoya Miltone, son caméléon. Il revint avec une mauvaise nouvelle. Il murmura dans l’oreille d’Emerode en lui disant que c’était un étranger et qu’elle ne devait en aucun cas faire du bruit et paniquer. Elle vit que la porte de sa chambre était ouverte. Elle sortit de sa chambre étonnée. Elle descendit les escaliers sans faire de bruit. Emerode se cacha dans la cuisine puis se munit d’une casserole. Gustave entra dans la cuisine prit un verre d’eau car il avait beaucoup trop couru.
Tout se passa si vite ! Emerode se prépara elle lui donna un gros coup si fort que les oiseaux s’envolèrent. Gustave tomba assommé. Elle enchaîna Gustave avec du scotch sur une chaise. Emerode dit :
• Crache le morceau qui es-tu ? A ces mots, Gustave tomba amoureux et ne répondit point. Emerode reposa la question en lui disant que s’il ne répondait pas Miltone le chatouillerait. Gustave répondit :
• Je suis euh … Qui êtes-vous pour m’enchaîner ainsi ? Je suis le grand prince Gustave
• Oui bien sûr je vois... Excusez-moi LE GRAND PRINCE Gustave ! Qu’on lui apporte le tapis rouge ! Vous n’avez pas l’impression de vous moquer de moi. C’est bien sûr l’attitude d’un prince de rentrer par effraction… Et puis comment êtes-vous entré ?
• Vous posez trop de question ma chère. La porte était ouverte... j’ai eu soif et je suis entré jusqu’à ce que je me retrouve enchaîné sur une chaise pas du tout confortable.
• Les soi-disant princes comme vous, restent dans un royaume à être assistés.
• PFF ! tout semble précis avec vous ! Tout a commencé quand j’étais dans mon royaume jusqu’à ce que je fasse tomber un verre. Dans le grimoire du royaume, la règle stipule que si on fait tomber un verre, nous devons sur le champ être enfermé dans les oubliettes quinze jours. Et je me suis enfui.
• Bah voilà ce n’était pas si difficile que ça ! Maintenant Miltone et moi on a mieux compris ! Bon assez parlé, ma mère va rentrer d’une minute à l’autre. Je vais vous cacher là, normalement cela devrait faire l’affaire !
• Venez donc avec moi... cela serait mieux que je fasse connaissance avec vous !
• Vous n’êtes pas très poli ! A vrai dire je n’ai jamais mis le pied dehors.
Emerode était si confuse qu’elle en devint maladroite et fit tout tomber. Emerode envoya Miltone aller voir si sa mère était rentrée.
Soudain la sorcière entra sans faire de bruit. Heureusement qu’elle n’avait pas vu Gustave. Chaque nuit Emerode peignait sa longue chevelure en chantant,
La sorcière dit :
• Emerode, il se fait tard
• Oui mère je vais aller me coucher. Mais en vérité Gustave était caché dans l’armoire. La sorcière se doutait bien de quelque chose.
Pendant la nuit Emerode se leva pour faire partir le Prince Gustave car elle l’avait garder suffisamment longtemps. Mais il avait réussi à s’enfuir.
Emerode était confuse mais elle finit par se rendormir Le lendemain elle fouilla tout le château et elle se demanda si elle ne ressentait que de l’amitié pour cet inconnu car il avait provoqué en elle des sentiments nouveaux.
Soudain quand elle termina de fouiller le château, elle trouva un petit passage secret, Emerode n’en crut pas ses yeux. Bizarrement la sorcière n’était pas dans le château, Emerode décida de sortir mais elle ne savait où cela pouvait mener. Emerode sortit du passage secret pour aller prendre quelques affaires. Elle n’oublia pas son miroir qu’elle gardait toujours sur elle. Elle ne savait pas d’où il venait car elle ne s’en souvenait pas. Elle savait juste qu’il ne venait pas de cette sorcière. Emerode retourna dans le passage secret elle parla à Miltone en disant :
 Je me demande d’où je viens et si cette sorcière est vraiment ma mère...
Tout à coup le miroir lui révéla la vérité. Elle vit quelque chose qui lui brisa le cœur. Elle vit qu’elle avait été kidnappée dès son enfance et que la sorcière n’était pas sa mère. Emerode était à la fois triste et à la fois contente. Quand elle vit qu’elle était de sang royal, Emerode se précipita pour sortir de ce château en pleurant. Elle vit la lumière dehors.
Emerode découvrit le monde extérieur. Elle était épanouie et si heureuse. Miltone partagea ce bonheur avec Emerode et lui sauta dessus tellement il était content. Emerode avait peur de mettre le pied dehors. Milton la poussa dans l’herbe et elle rit aux éclats.
Soudain le prince, sortit des buissons et lui dit :
• Je savais que vous alliez trouver le trou que j’avais fait. Vous seriez très bonne détective vous savez !
• Merci mais j’aime avant tout l’aventure !
• Vous savez ma chère Emerode, je suis tombé amoureux de vous dès que je vous ai vue. Emerode répondit :
• Vous n’avez pas toujours honte, dit-elle en rigolant et en rougissant.
Le prince dit :
• Venez donc avec moi je vais vous montrer mes parents.
Emerode répondit :
• D’accord car moi aussi je dois voir deux personnes qui me sont chères.
Emerode partit avec le prince Gustave. Elle rentra dans le royaume. Elle retrouva ses vrais parents.
Ils la serrèrent dans leurs bras et la sorcière vécut malheureuse dans son château.
Emerode sa maria avec Gustave et ils vécurent heureux et eurent beaucoup d’enfants.
Lina 6e2

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Paul et le monstre des jouets

Il était une fois un garçon qui se nommait Paul. Il avait six ans. Il habitait à la campagne. Il vivait avec sa mère, son beau-père et son grand frère. Paul adorait un marchand de jouets car il vendait les jouets qu’il aimait et aussi il était très gentil avec Paul.
Un jour, la famille de Paul prit un goûter et soudain Paul cassa la tasse préférée de son beau -père. Son beau-père était furieux mais il ne le montra pas. Il décida de l’emmener chez le marchand de jouet. Son beau-père lui dit :
 attends-moi ici je vais chercher mon porte-monnaie. Paul attendit des heures mais son beau-père ne revint pas. Paul ne revit jamais son beau-père car il ne revint jamais le chercher. Le marchand de jouet ferma la boutique. Paul y resta enfermé car il s’était caché.
Il ouvrit une porte et vit le monstre des jouets se mettre à bouger. Il eut peur du monstre des jouets et le pauvre monstre eut peur du petit garçon. Ils attendirent une heure. Le monstre des jouets demanda à Paul comment il s’appelait. Il répondit :
• Je m’appelle Paul. Paul demanda à son tour au monstre comment il s’appelait. Le monstre des jouets répondit :
• Je m’appelle goulougoulou. Paul et goulougoulou devinrent amis. Paul voulait rentrez chez lui mais il ne voulait pas revoir son beau-père car ce dernier était égoïste et avait un cœur de pierre.
Paul fit un gros câlin à goulougoulou et il se transforma en un papa. Une fée les emmena chez Paul et la mère de Paul qui avait quitté cet homme ingrat, tomba sous le charme de goulougoulou qui était un homme bon et généreux.
Ils vécurent heureux et restèrent des meilleurs amis pour toute la vie.
Morale : Il ne faut pas se fier aux apparences car on peut devenir ami avec tout le monde
Maissane Sohane et Abdoul 6e2